Douze jours de Cannes, c'est tuant. Non seulement il faut parfois se taper des navets de trois heures, parader sur un tapis rouge, faire la belle au soleil, éloigner élégamment les séducteurs veules et faire en sorte qu'on ne dise que du bien de vous. Un travail de titan qui mérite, dès l'annonce du palmarès, de prendre la pourdre d'escampette pour se réfugier dans le seul endroit au monde où vous serez vraiment traitée comme une star :
(Je voudrais remercier ici Charlotte Rooy sans laquelle la direction artistique de cette camapgne n'aurait pu exister. Dana Philp et Raphaële Lacroix qui, tout au long de ce merveilleux travail m'ont soutenu par leurs idées, leurs encouragements et leurs sourires. Merci à Mathilde Thomas chez Caudalie par laquelle tout est possible. Merci enfin à Pauline Bony et Mathilde Remaud qui, même dans l'ombre, attirent la lumière. Et merci à ma mère qui me manque. Annonce publiée ce matin dans le numéro de clôture del'édition spéciale Croisette du jour de Gala).
